Vive la crise!
mouette
lamouetterouge@gmail.com
samedi 31 décembre 2011
jeudi 22 décembre 2011
on the road again
Les (innombrables) déplacements de la campagne sont à mes frais pas à ceux du contribuable (vous)...
mercredi 21 décembre 2011
mardi 20 décembre 2011
lundi 19 décembre 2011
dimanche 18 décembre 2011
samedi 17 décembre 2011
vendredi 16 décembre 2011
jeudi 15 décembre 2011
Manif'
Allez c'était pas si nul. 2 candidats présents : Philippe Poutou qui a l'air fort sympathique mais que personne ne reconnaît et votre serviteur que personne ne reconnaît non plus! Pas vu les autres : ni Mélenchon visiblement absent, malgré la présence du front de gauche. Évidemment personne de droite : ni Hollande, ni Morin, ni Bayrou, ni Villepin, ni Lepage, ni Le Pen, ni Dupont Aignan etc. Pas vus Calixthe Belaya, Lozès et compagnie non plus! Les partis? NPA et le Front de gauche.
mercredi 14 décembre 2011
mardi 13 décembre 2011
lundi 12 décembre 2011
dimanche 11 décembre 2011
Grève des profs et manif'
Rappel : La grève concerne le nouveau système d'évaluation des profs injuste et créateur de concurrences internes aux établissements insupportables. Personne n'en veut : ni les chefs d'établissements, ni les inspecteurs, ni les profs. Ah si! Une personne, pour continuer à démanteler ce qui reste de centralisé : le ministre.
Zéro concertation, comme d'hab'...
Personne ne peut nier qu'il faut une réforme du système faux-cul des inspections. Mais pas celle-ci!
Denfert- Sèvres Babylone : c’est dire si on attend du monde.... Bon on y sera quand même!
Zéro concertation, comme d'hab'...
Personne ne peut nier qu'il faut une réforme du système faux-cul des inspections. Mais pas celle-ci!
Denfert- Sèvres Babylone : c’est dire si on attend du monde.... Bon on y sera quand même!
samedi 10 décembre 2011
vendredi 9 décembre 2011
T'ares ta gueule à la récré!
Actualité chargée, surmotivation et envie d'en découdre : la campagne est lancée!
N'ont qu'à bien se tenir...
N'ont qu'à bien se tenir...
jeudi 8 décembre 2011
mercredi 7 décembre 2011
mardi 6 décembre 2011
lundi 5 décembre 2011
dimanche 4 décembre 2011
Patrick Besson, FOG, Le Point : Le Pen vous dit merci.
Quelle mouche a piqué P. Besson pour pondre la merde de texte qu'il a réussi à faire publier par Le Point??????
Osons poser le truc : qui peut se permettre d'écrire un texte aussi dénué de sens et si bas de forme? Qui faut-il être pour lire et décider de publier cette merde? FOG, oui,bien sûr, mais cela n'explique pas tout. Le brouillard aveugle certes, mais à ce point? (ouarf).
Il faut vraiment vouloir chaque semaine s'acharner sur les Verts, sur la gauche et jouer Sarko gagnant à 1000 contre un pour ainsi s'abaisser. "Tempête dans un verre d'eau" nous dit FOG. Certes. En dirait-il de même d'un texte à l'accent Yiddish ( à supposer qu'il y en ait un) ou rédigé en petit nègre? Mais cette tempête dans un verre d'eau cela relève des arguments du Gringoire commentant les expos anti-juives de Vichy. FOG - Besson : Le Pen vous dit merci.
Osons poser le truc : qui peut se permettre d'écrire un texte aussi dénué de sens et si bas de forme? Qui faut-il être pour lire et décider de publier cette merde? FOG, oui,bien sûr, mais cela n'explique pas tout. Le brouillard aveugle certes, mais à ce point? (ouarf).
Il faut vraiment vouloir chaque semaine s'acharner sur les Verts, sur la gauche et jouer Sarko gagnant à 1000 contre un pour ainsi s'abaisser. "Tempête dans un verre d'eau" nous dit FOG. Certes. En dirait-il de même d'un texte à l'accent Yiddish ( à supposer qu'il y en ait un) ou rédigé en petit nègre? Mais cette tempête dans un verre d'eau cela relève des arguments du Gringoire commentant les expos anti-juives de Vichy. FOG - Besson : Le Pen vous dit merci.
samedi 3 décembre 2011
le relookage
"Souviens toi des lunettes de Jospin et du régime de Hollande!" (adage populaire encore nommé "Théorème de Pulvar")
vendredi 2 décembre 2011
jeudi 1 décembre 2011
mercredi 30 novembre 2011
mardi 29 novembre 2011
lundi 28 novembre 2011
Un autre monde est possible
Sortir du tout nucléaire ne se pose pas dans les termes catastrophistes sarkoziens mais juste comme une nécessité de long terme.
dimanche 27 novembre 2011
samedi 26 novembre 2011
vendredi 25 novembre 2011
jeudi 24 novembre 2011
Votez pour moi, pauvres pêcheurs!
Je sillonne les provinces françaises à la recherche de la moindre voix.
mardi 22 novembre 2011
lundi 21 novembre 2011
Dites 33...
Morin propose 37 heures. Mes convictions me poussent à dire 33! Mais c'est un coup de poker!
dimanche 20 novembre 2011
samedi 19 novembre 2011
Les affiches
Petit aperçu des affiches.
Attention ces affiches participent de la démarche critique. Belles images (c'est selon les goûts)mais, sérieuses ou non, elles doivent donner à réfléchir sur le sens des mots, l'usage des slogans de type publicitaire et leur portée. Rappelle toi les campagnes à l'infinitif de telle ou telle marque, les enjeux de l'élection personnelle... Bon, je vais pas donner le mode d'emploi en plus!
Rubrique affiche de campagne actualisée régulièrement.
Attention ces affiches participent de la démarche critique. Belles images (c'est selon les goûts)mais, sérieuses ou non, elles doivent donner à réfléchir sur le sens des mots, l'usage des slogans de type publicitaire et leur portée. Rappelle toi les campagnes à l'infinitif de telle ou telle marque, les enjeux de l'élection personnelle... Bon, je vais pas donner le mode d'emploi en plus!
Rubrique affiche de campagne actualisée régulièrement.
vendredi 18 novembre 2011
Sacré hervé Morin!
La campagne de Hervé Morin est formidable. La rubrique "un jour-une photo" en particulier, est sensationnelle. chaque jour, H. Morin prend une photo qu'il nous fait partager. Ce n'est pas un super adepte de la photo, car il a beaucoup de mal à en livrer une par jour. Je ne parle pas de technique mais bien d'idées. Alors, des fois, il prend son portable et photographie la première daube venue. Comme le Kididoc sur les pirates de son fils Jules. Fallait y penser. Normalité (Hollande est enfoncé) surnormalité ou même extranormalité, devrais-je dire! J'attends avec impatience sa déclaration sur ou sous le pont de Normandie. Ça va être épique, il ne faut pas rater ça. Pour patienter, il y a toujours son site. Son affiche de campagne est formidable aussi. Belle, avec un grand Bèèèèèè, et pas ringarde du tout. Sacré Hervé va!
mercredi 16 novembre 2011
mardi 15 novembre 2011
lundi 14 novembre 2011
dimanche 13 novembre 2011
samedi 12 novembre 2011
vendredi 11 novembre 2011
jeudi 10 novembre 2011
Aux armes!
Demain c'est le 11 novembre. Ben oui... Donc la vidéo du jour y est consacré, mais comme c'est férié, je la publie la veille!
mercredi 9 novembre 2011
mardi 8 novembre 2011
lundi 7 novembre 2011
dimanche 6 novembre 2011
samedi 5 novembre 2011
Explications
Pour participer à tous candidats : www.touscandidats2012.fr. Vous aurez noté que j'ai eu l'idée en premier... Et toc! Allez y voir quand même!
Quand à Hervé Morin je n'ai rien contre lui (ah ah ah...). Voir son portrait ici :
portrait n°1
Qui parie qu'il se retire? Qu'il se maintient? Et si c’est le cas, combien fera-t-il? 1%? entre 1 et 2%? + que 2%?
Quand à Hervé Morin je n'ai rien contre lui (ah ah ah...). Voir son portrait ici :
portrait n°1
Qui parie qu'il se retire? Qu'il se maintient? Et si c’est le cas, combien fera-t-il? 1%? entre 1 et 2%? + que 2%?
vendredi 4 novembre 2011
jeudi 3 novembre 2011
Iconique supersonique black star…
L’ombre d’un aigle décharné, plane encore sur Bercy. Ses ailes déployées enveloppent la nuit qui résonne encore de ses cris. Bob Dylan est passé. Expérience unique.
On ne va pas au concert de Dylan comme à un autre. L’amateur de Rock (ou encore, blues, pop, folk, bref la grande famille de la musique américaine…, appelez cela comme vous le voulez…) qui n’a jamais vu Dylan en concert malgré son âge avancé (l’amateur pas Bob !), sait plusieurs choses : les morceaux qu’il aime en disque, il ne les reconnaîtra pas forcément ; l’investissement du maître confine au minimal s’il le décide ; la voix est fatiguée d’avoir tant chanté, la gorge enfumée… ;la guitare est pour Dylan un lointain souvenir ante-arthritique… Bref, les menaces rodent sur la prestation.
Qu’attend l’amateur de tels évènements ? Cocher sur son propre livre d’image lui (Dylan par exemple) je l’ai vu, eux (Pink Floyd, par exemple) pas, eux (Les Stones au hasard) oui ? Non. L’amateur attend une expérience sonore et un moment partagé.
Il n’est pas trop fort de dire que l’expérience du 17 octobre fut mémorable. Je la gardais précieusement pour moi avant de publier ce texte. Premièrement, histoire de voir sa vivacité avec le temps. Deuxio, je reste toujours méfiant avant de m’étaler : ça intéresse qui, les impressions personnelles d’un amateur de musique américaine (rock, blues,pop etc) ? Mais le jugement péremptoire d’un spécialiste auto affirmé à la compétence reconnue de tout ce que Paris compte « d’essentiel », et les insistances d’un vieux camarade présent ce soir-là m’y poussent.
Je ne suis pas dylanologue et ne prétend pas être spécialiste. Je ne publie pas des dictionnaires amoureux de la chose. Mais lire que De Caunes a trouvé cela atroce me rend furieux. Je sais qu’il pourrait m’en dire bien plus sur les morceaux et la carrière du grand Bob, à la manière de "l’érudit-rock" de Rock‘n’Folk. Mon manque d’érudition pointue ne m’a pas empêché de relever moultes erreurs dans ton dico, Antoine, en particulier autour de JJ Cale et de sa discographie (les erreurs ça arrive, mais il faut se relire avant de publier). Alors quoi ?
Le concert du 17 fut une expérience forte : iconique, sonore à la manière supersonique…
Bob Dylan s’est rangé du côté des légendes. Il en est une, indéniablement. Il en assume le statut par l’image. Nous sommes en présence d’une icône, noire, poseuse, au cœur d’un tableau –le groupe - bien composé. Cohérence visuelle du noir, le décor est posé. Nous sommes au cœur des racines de cette musique. Son groupe est mené à la manière des orchestres de BB King, autre icône, de ces grands musiciens qui sûrs de leur aura et de leur légitimité n’ont pas de gêne à marquer leur pouvoir. Dylan pose, sûr de son fait. C’est dangereux. Faut pas se casser la gueule, faut assurer. A la manière d’un Presley, Dylan ose le déhanché rock’n’roll.
Le son, maintenant, c’est-à-dire tout de même, l’essentiel. Fort en volume (on m’avait prévenu ce qui ne laissait pas de m’étonner), mais surtout compact, intense, dense, moderne car intemporel : du rock’n’roll, brut et décapant. Basse, batterie, Télécaster, guitare rythmique, et orgue dylanien. Ceux qui ont aimé la période Kooper-Bloomfield vont aimer. Cela tranche avec les derniers albums que je connais mal et m’évertuais à écouter pour me mettre à jour ! Du rock 'n’ roll c’est-à-dire une pulsation, tempo rapide et déterminé, des riffs tranchants acérés à l’aigu intense. C’est carré, réglé au cordeau mais vivant. Le répertoire dylanien est ici passé à une moulinette cohérente de bout en bout, avec une volonté de le jouer non comme un patrimoine immuable mais comme une matière organique, vivante : récits résonnants, émotions anciennes et vivantes, par un homme hors d’âge qui n’a peut-être d’autre sens à donner à sa vie que de chanter.
Ceci est porté par une voix abîmée par un traitement d’une violence inouïe. Que dis-je ici ? Cette voix, qui vient du profond du corps, éraillée bien sûr mais parfois très grave, cette voix est l’instrument premier. Dylan aboie parfois plus qu’il ne chante et l’on retrouve des accents d’une autre icône, John Lee Hooker avec qui Dylan partage l’épopée. On y retrouve le Johnny Cash affaibli de la fin. Voix qui tressaille, menace de tomber, mais finalement trouve sa route tout au long du concert.
Si on ajoute que Dylan se fend d’un joli solo de guitare et d’interventions à l’harmonica on en conclut qu’on a trouvé ce qu’on était venu chercher : une véritable expérience, un moment d'anthologie. N'en déplaise à la foule venue chercher une connivence de bon aloi, au rythme d'applaudissements et de ohohohoh (no rain) vieillots. Gardons cela pour les reformations de n'importe quel groupe de légende. Mais Bob Dylan n'est pas n'importe qui.
On ne va pas au concert de Dylan comme à un autre. L’amateur de Rock (ou encore, blues, pop, folk, bref la grande famille de la musique américaine…, appelez cela comme vous le voulez…) qui n’a jamais vu Dylan en concert malgré son âge avancé (l’amateur pas Bob !), sait plusieurs choses : les morceaux qu’il aime en disque, il ne les reconnaîtra pas forcément ; l’investissement du maître confine au minimal s’il le décide ; la voix est fatiguée d’avoir tant chanté, la gorge enfumée… ;la guitare est pour Dylan un lointain souvenir ante-arthritique… Bref, les menaces rodent sur la prestation.
Qu’attend l’amateur de tels évènements ? Cocher sur son propre livre d’image lui (Dylan par exemple) je l’ai vu, eux (Pink Floyd, par exemple) pas, eux (Les Stones au hasard) oui ? Non. L’amateur attend une expérience sonore et un moment partagé.
Il n’est pas trop fort de dire que l’expérience du 17 octobre fut mémorable. Je la gardais précieusement pour moi avant de publier ce texte. Premièrement, histoire de voir sa vivacité avec le temps. Deuxio, je reste toujours méfiant avant de m’étaler : ça intéresse qui, les impressions personnelles d’un amateur de musique américaine (rock, blues,pop etc) ? Mais le jugement péremptoire d’un spécialiste auto affirmé à la compétence reconnue de tout ce que Paris compte « d’essentiel », et les insistances d’un vieux camarade présent ce soir-là m’y poussent.
Je ne suis pas dylanologue et ne prétend pas être spécialiste. Je ne publie pas des dictionnaires amoureux de la chose. Mais lire que De Caunes a trouvé cela atroce me rend furieux. Je sais qu’il pourrait m’en dire bien plus sur les morceaux et la carrière du grand Bob, à la manière de "l’érudit-rock" de Rock‘n’Folk. Mon manque d’érudition pointue ne m’a pas empêché de relever moultes erreurs dans ton dico, Antoine, en particulier autour de JJ Cale et de sa discographie (les erreurs ça arrive, mais il faut se relire avant de publier). Alors quoi ?
Le concert du 17 fut une expérience forte : iconique, sonore à la manière supersonique…
Bob Dylan s’est rangé du côté des légendes. Il en est une, indéniablement. Il en assume le statut par l’image. Nous sommes en présence d’une icône, noire, poseuse, au cœur d’un tableau –le groupe - bien composé. Cohérence visuelle du noir, le décor est posé. Nous sommes au cœur des racines de cette musique. Son groupe est mené à la manière des orchestres de BB King, autre icône, de ces grands musiciens qui sûrs de leur aura et de leur légitimité n’ont pas de gêne à marquer leur pouvoir. Dylan pose, sûr de son fait. C’est dangereux. Faut pas se casser la gueule, faut assurer. A la manière d’un Presley, Dylan ose le déhanché rock’n’roll.
Le son, maintenant, c’est-à-dire tout de même, l’essentiel. Fort en volume (on m’avait prévenu ce qui ne laissait pas de m’étonner), mais surtout compact, intense, dense, moderne car intemporel : du rock’n’roll, brut et décapant. Basse, batterie, Télécaster, guitare rythmique, et orgue dylanien. Ceux qui ont aimé la période Kooper-Bloomfield vont aimer. Cela tranche avec les derniers albums que je connais mal et m’évertuais à écouter pour me mettre à jour ! Du rock 'n’ roll c’est-à-dire une pulsation, tempo rapide et déterminé, des riffs tranchants acérés à l’aigu intense. C’est carré, réglé au cordeau mais vivant. Le répertoire dylanien est ici passé à une moulinette cohérente de bout en bout, avec une volonté de le jouer non comme un patrimoine immuable mais comme une matière organique, vivante : récits résonnants, émotions anciennes et vivantes, par un homme hors d’âge qui n’a peut-être d’autre sens à donner à sa vie que de chanter.
Ceci est porté par une voix abîmée par un traitement d’une violence inouïe. Que dis-je ici ? Cette voix, qui vient du profond du corps, éraillée bien sûr mais parfois très grave, cette voix est l’instrument premier. Dylan aboie parfois plus qu’il ne chante et l’on retrouve des accents d’une autre icône, John Lee Hooker avec qui Dylan partage l’épopée. On y retrouve le Johnny Cash affaibli de la fin. Voix qui tressaille, menace de tomber, mais finalement trouve sa route tout au long du concert.
Si on ajoute que Dylan se fend d’un joli solo de guitare et d’interventions à l’harmonica on en conclut qu’on a trouvé ce qu’on était venu chercher : une véritable expérience, un moment d'anthologie. N'en déplaise à la foule venue chercher une connivence de bon aloi, au rythme d'applaudissements et de ohohohoh (no rain) vieillots. Gardons cela pour les reformations de n'importe quel groupe de légende. Mais Bob Dylan n'est pas n'importe qui.
mercredi 2 novembre 2011
mardi 1 novembre 2011
lundi 31 octobre 2011
Parrainages
Bertrand Delanoé ne me soutiendra pas de sa signature. Mais il a répondu lui au moins!
Monsieur,
J'ai pris connaissance de votre message au Maire de Paris.
J'ai le regret de vous préciser que Bertrand DELANOË n'est pas en mesure de répondre favorablement à votre demande.
Cordialement,
S. LATTÈS
Cabinet du Maire de Paris
De toutes façons j'ai déjà presque toutes les signatures. On travaille on travaille...
Monsieur,
J'ai pris connaissance de votre message au Maire de Paris.
J'ai le regret de vous préciser que Bertrand DELANOË n'est pas en mesure de répondre favorablement à votre demande.
Cordialement,
S. LATTÈS
Cabinet du Maire de Paris
De toutes façons j'ai déjà presque toutes les signatures. On travaille on travaille...
dimanche 30 octobre 2011
lundi 24 octobre 2011
dimanche 23 octobre 2011
samedi 22 octobre 2011
vendredi 21 octobre 2011
Gravitude internationale
La situation internationale nécessite un peu de mise à jour...Nos alliances passées sont parfois vite passées...
Nous ne négocierons jamais avec les terroristes.
Nous ne négocierons jamais avec les terroristes... Ben faudrait peut-être le faire??
jeudi 20 octobre 2011
mardi 18 octobre 2011
et pourquoi pas moi?
C'est vrai ça! Liste établie d'après Wikipédia "candidats présidentielles 2012" le 17/10/2011...
lundi 17 octobre 2011
Rien compris!
Ils n'ont rien compris! Les dirigeants du PS sont incorrigibles (et comment pourrait-il en être autrement s'agissant de types qui sont dans la place depuis si longtemps et n'ont qu'une seule culture politique?): au lieu de profiter de l'élan (?) d'un résultat incontestable et puissant, les voilà qui reviennent vers leurs vieux démons : des places, des places, des places! Et Le Foll, Dray, Peillon et consorts de réclamer une recomposition de la direction du PS....Mais les Français qui ont voté aux Primaires ont-ils voté pour un congrès socialiste, pour la composition du bureau national, ou juste pour choisir un candidat de centre gauche? C'est cela "réenchanter le rêve Français"? Poser la question c'est y répondre mais Dray et consorts savent trop qu'un poste au Conseil national c'est des places éligibles en plus aux Territoriales de 2014, aux futures sénatoriales auxquels ils pensent déjà, pour se retenir d'en parler... C'est vraiment à la hauteur des enjeux et ça me donne envie de voter pour eux tiens...
samedi 15 octobre 2011
Seule la victoire est belle ...
Vous l'avez compris j'ai décidé de transformer la critique de la mouette. Après avoir relu attentivement les articles longs et argumentés des campagnes 2002/2007 j'ai constaté que nous avions tout dit sur la médiatisation, la peoplisation, l'hyper personnalisation et la fadeur du politique. Ceux qui veulent savoir de quoi je parle n'ont qu'à relire les vieux textes. J'ai pensé qu'utiliser le discours politique, l'outrer et le mettre en scène pouvait jouer ce rôle critique aider à détruire ce système en le tournant en ridicule. Hélas je ne suis pas assez outrancier! Je n'arrive pas à la cheville de nos sérieux drôles politiques : la preuve en est faite ce midi par notre premier sinistre Fillon (prononcer fion, ill = [ye])... Mettant en scène le ridicule et grossier politicard félicitant les bleus après leur misérable mais victorieux match de rugby ce matin, je ne pensais vraiment pas que nos gouvernants seraient à ce point ridicules. Mais si! Fillon a osé dire la phrase suivante : "en sport c'est comme en politique : seule la victoire est belle". Abruti sans nom qui nous gouverne, mesure ton langage à l'aune de tes responsabilités! Qu'un supporter de tribune le pense, le dise, why not?, il a payé pour voir son équipe jouer et c'est déjà désolant! Mais qu'est ce que cela signifie sinon affirmer que la lutte politique n'a d'autre sens que d'acquérir le pouvoir pour le pouvoir, comme le sportif la victoire pour la victoire? Mais c'est donc se reconnaître fils de Machiavel et penser que la seule fin justifie les moyens... Continue de la sorte et affirme tout haut ce que mes sketchs de peu de moyens disent en creux : "je n'ai pas d'idées, pas de programme, je ne veux que le pouvoir!"
Voilà où nous conduit l'absence de réflexion, le chauvinisme étroit, la récupération politicienne de tout "évènement" ou fait perçu comme tel, pour flatter une opinion publique docile et abrutie d'images. Alors, je vais continuer mes petits sketchs en sachant qu'ils seront toujours au-dessous de la réalité que je ne peux visiblement pas imaginer...
Voilà où nous conduit l'absence de réflexion, le chauvinisme étroit, la récupération politicienne de tout "évènement" ou fait perçu comme tel, pour flatter une opinion publique docile et abrutie d'images. Alors, je vais continuer mes petits sketchs en sachant qu'ils seront toujours au-dessous de la réalité que je ne peux visiblement pas imaginer...
vendredi 14 octobre 2011
jeudi 13 octobre 2011
Allocution : le handicap
Il faut s'occuper d'une meilleure intégration des handicapés dans la société. On s'en occupe comme le prouve cette vidéo spéciale.
mercredi 12 octobre 2011
mardi 11 octobre 2011
lundi 10 octobre 2011
dimanche 9 octobre 2011
samedi 8 octobre 2011
Boutin l'Anglois hors de France?
Ici Levallois-Perret, la Boutin parle aux Français. Christine Boutin est en campagne. Elle a inauguré son QG et elle a déjà recueilli 300 promesses de parrainage ce qui est beaucoup plus que moi, mais le temps de l'annonce n'est pas encore venu. Je retiens de son discours qu'elle estime que nous sommes dans une troisième guerre mondiale.... Mais contre qui bordel? Elle ne le dit pas ce qui ne facilite pas la tâche à tous les résistants de la première heure...
vendredi 7 octobre 2011
Allocution n°2
Afin de mieux expliquer ma démarche je m'exprimerai régulièrement. Voici la deuxième allocution.
jeudi 6 octobre 2011
Le Figaro fait le Jobs
Qu'est ce que la droite? Ceci : Steve Jobs mort depuis quelques heures, le Figaro titre sur l'inquiétude des marchés vis à vis de l'action d'Apple. Jolie nécro!
rumeur
Sarah Palin renonce à briguer la Maison Blanche. Elle pense qu'elle a plus de chances à l'Elysée?
Portraits politiques n°1 : Hervé Morin.
J'ai déjà évoqué sur ces pages le nom de notre ancien ministre de la Défense : Hervé Morin.Prononcez bien et retenez ce nom si bien français qu'il en est rassurant : HER-VE MO-RIN. Moi, -sont-ce mes racines normandes qui parlent?- j'adoooore Hervé Morin. Hervé Morin a une ambition présidentielle. Il affirme qu'il va se présenter c'est irrévocable, chaque jour qui passe le rapproche de la déclaration qui tue, mais "ce n'est pas encore le moment" nous dit-il. C'est marrant comme en politique c'est rarement le moment.... Mais nul ne doute que le jour où Hervé Morin va se décider approche. Ce jour-là, promis juré, toute la France va prendre une claque. Car Hervé Morin, "c'est pas rien" (prononcez "c'est po rein") comme on dit chez nous.Si j'en crois sa bio accessible via son site internet, Hervé Morin a toutes les qualités de l'homme politique français, qui est un type bien spécifique dans la taxinomie des hommes politiques internationaux. "L'homo politicus francorum" est en effet doté de spécificités notoires, tant dans sa formation que dans son évolution. Il doit avoir fait Sciences Po', c'est obligatoire et c'est pour cela que Bové a disparu de la circulation; il doit impérativement être en mesure de durer, de rebondir et de revenir quelles que soient les circonstances et les embûches (pensez à Mitterrand, Fabius, Juppé, Chirac...); il doit pour cela ne pas avoir peur de cumuler les mandats jusqu'à l'indigestion (croyez moi passer de la buvette de l'Assemblée, aux pots de l'amitié des anciens combattants de Seine Maritime (je sais de quoi je parle), du restaurant du Conseil Régional à l'apéro du canton, faut la santé...). Surtout, il ne doit pas avoir exercé trop d'activités professionnelles, mais comment cela se pourrait-il? Et bien, cher lecteur, Hervé Morin possède toutes ses qualités plus une. Il est discret.Hervé Morin a fait Sciences po'. Pas l'ENA,certes, -ça c'est un tort Hervé...-, mais Sciences Po' oui. Hervé Morin semble bien parti pour durer; Rien ne peut lui ôter de l'esprit qu'il a un destin et d'ailleurs il baigne dans le jus politique depuis maintenant 22 ans, bientôt un quart de siècle, ce qui pour un homme de 50 ans fait déjà une moitié de vie... (et oui déjà Hervé...) Il devrait continuer encore puisque notre homme est un sacré cumulard. C'est simple, à part Président et Sénateur il a tout fait et fait tout parfois en même temps. Il est donc conseiller municipal (1989/1995), maire (depuis 1995), député (depuis 1998), conseiller général (depuis 1992) mais a été aussi conseiller régional entre 2004 et 2010. Bien sur cela lui a laissé le temps d'être Ministre ( de 2007 à 2010). Vous l'avez compris Hervé Morin est bien un homme politique Français dans la plus pure tradition. C'est d'ailleurs de la tradition dont il se réclame; Il faut lire le discours qu'il a prononcé lors du rassemblement normand du 3 septembre dernier à Epreville en Lieuvin : assumant la tradition normande, l'emploi de la première personne lui a fait traverser les siècles et conquérir tout à la fois l'Angleterre et l'ensemble du bassin méditerranéen. Il faut entendre (pourquoi n'étais-je pas à Epreville en Lieuvin ce 3 septembre 2011???) la fierté dans la voix d'Hervé Morin à l'heure d'évoquer ses origines vikings! Mais attention son exaltation normande ne l'empêche pas de saluer les Picards, les Bretons et les Parisiens, on sait jamais, la Normandie pourrait être encerclée.Il faut l'entendre évoquer "le bon sens paysan" (ben tiens), lui, "le fils de maçon et de paysan" (sic! du calme Hervé, du calme! Encore un peu il nous ajoutait un artisan...).Bon après un couplet sur la Normandie terre de tradition mais avant-pont vers la modernité et Shanghaï, voilà qu'on passe aux choses sérieuses : le paysage politique national. Et là Hervé nous apprend qu'après des vacances bien méritées en juillet, il n'a pas arrêté en août : alors je compte ce qu'il conte : un jour au camping au cap d'Agde (Oh Hervé...), une visite à Paris au planning familial, une journée à Calais, et un dimanche en Bretagne.... Un emploi du temps de ministre! Attention au surmenage, Hervé Morin!Vient ensuite le temps de montrer qu'Hervé Morin ne rigole pas et qu'il n'est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, non mais alors. et le voilà qui recense toutes les erreurs de Sarko président depuis 2007 (quand lui Morin était juste le Ministre de la Défense- un détail sans doute?), et même du temps de Sarkozy ministre du Budget (1993/1995) et du déficit abyssal dans un gouvernement qu'il soutenait (autre détail???)Il faut bien sûr arrêter de croire qu'on peut continuer comme ça et avoir des déficits (vous remarquerez comme cette idée est quasi révolutionnaire). Au fait, pas un mot sur les retraites. Monsieur Morin qui a travaillé il est vrai quelques années ( oh pas longtemps faut pas exagérer, de 1987 à 1993 et en 1998, à l'Assemblée nationale (!) et comme chargé de cours entre 1989 et 1995 au total donc 9 belles années de travail...) n'a pas à se soucier de la retraite des salariés : ses multiples fonctions politiques font qu'il peut tout arrêter, il est tranquille. Enfin, Hervé Morin se lance dans une véritable diatribe qui en ferait un bon ministre de Valls, à la droite du PS, à peine plus, affirmant qu'il faut un "président capable de renverser la table" (allons donc!) et qu'il sera celui-là!.Je n'en crois rien, Monsieur Morin. Le système politique que vous dénoncez, vous en vivez et en avez toujours vécu. Votre démarche est une démarche de type qui parie sur la défaite de Sarkozy et vise la recomposition de ce que vous appelez centre et moi droite, dans un but plus lointain : 2017 voire 2022.... Vous n'aurez alors que 62 ans. Toute la vie devant vous... vcela dit il vous faut tout de même du courage pour faire des séances de dédicaces à l'Intermarché de Bernay, de 17 à 18 heures. Les petits cours d'eau font les grands fleuves...
mercredi 5 octobre 2011
remous
Montebourg : "Je n'ai pas de raison de penser que je pourrais échouer" Moi je n'ai pas de raison de penser qu'il pourrait réussir.Lepage suscite sarcasmes et incompréhension (voir ici : http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/10/05/la-candidate-lepage-suscite-lassitude-et-railleries-chez-ses-anciens-amis_1582317_823448.html) : vous trouvez ça bizarre?
Encore un...
Victor Izraël se présente. C'est un cancérologue et il se présente pour éradiquer le cancer.Dame! Voilà un programme incontestable. Mais si chaque spécialiste s'y met il va y avoir plein de candidats! Le candidat anti SIDA, le candidat de la mucoviscidose et j'en passe. J'ai surtout l'impression que cela ajoute de la confusion à la confu ..."ta gueule!" A moins que ce soit pour rendre ma candidature inaudible? Comme tous les grands candidats je suis en phase de réflexion personnelle, surtout depuis que D. Riquet, soutien de Borloo a dit, je cite : "Vous avez vu le début de campagne? C'est un combat de catch dans la merde. Vous connaissez un mec normal qui veut barboter là-dedans?" C'est vrai que ça donne à réfléchir....Alors je consulte, je fais des retraites au bistrot, je prends le pouls de la France et je médite. J'en ressortirai tout neuf ou tout crade!
mardi 4 octobre 2011
lepage y va!!!
Corine Lepage se présente! Franchement ça ajoute de la confusion à la confusion et ça bouleverse mes plans. On en reparle mais d'un coup j'hésite.... Et si je faisais plus que Lepage??? Je serais confus....
Borloo, Schivardi et moi et moi et moi?
Borloo n'y va pas! Bon alors il y a un mois à peine, il était à fond, et puis il a réfléchi : "naaaaaan, je ne pas veux rajouter de la confusion à la confusion, et puis la crise blabla, vous comprenez...."
Billevesées et gros mensonges. Son parti, sous perf' financière UMP, ne peut en aucun cas se fâcher avec ce dernier. Fâcher Sarko, c'était bouffer la feuille et des patates pendant des siècles (en politique le temps est différent). Bref pas possible. Mais, la confusion, c'est là qu'il la crée ce crétin. Où est le centre alors? Moi qui disait qu'il était à droite, j'aurais donc raison? Ben oui.... Cool.
Au fait, Schivardi n'y va pas non plus mais personne n'en parle vraiment (un entrefilet dans Libé, un autre dans le Parisien...) Faut dire qu'avec 0.47% à l'élection de 2007 c'est pas non plus le scoop du siècle (oui mais Borloo il a fait combien en 2007? Hein? Pardon?)! Mais les conditions sont très différentes. Schivardi aussi, il était prêt, il en a parlé au printemps : c'est son parti qui ne veut pas. Alors que le PR de Borloo est cocu de chez cocu.... (une pensée pour tous ceux qui ont fait une croix sur les remaniements ministériels pour rien l'an passé! Yade, Paillé, Jégo : ils se contiennent mais ils jetteraient bien le Borloo dans le conteneur à verre du quartier - avec lui c'est toujours le verre au total vide et jamais plein (ça c'est nul, franchement)).
Bon, le retrait de Schivardi est une bonne nouvelle : ceci dit, au niveau confusion y avait quand même pas trop de risque....
Devant cette situation politique désormais nouvelle, tous les compteurs sont remis à zéro, moi, je réfléchis. Et si j'en ajoutais, moi, de la confusion? Ça tombe bien, cette année j'ai un peu de temps. Et puis candidat, je l'ai jamais fait. Laissez moi réfléchir deux secondes. On en recause mais ça me branche bien. Je ferai bientôt une déclaration à tous les Français. Et si je me retire c'est que je n'aurais pas voulu ajouter de la confusion à la confusion. Rien n'est moins sûr. Je me sens des envies de confusion, moi. Comme Jouanno qui, sentant le vent, se recase au sénat et déclare (véridique) à la TV en répondant à la question : "sénatrice ou ministre?" : "J'ai des envies de sénat"!!!! Et tous les grabataires du Luxembourg de baver, mais ils se sont mis le doigt dans l'oeil et l'oeil dans la poche, sous le mouchoir (souillé) : Elle voulait dire qu'elle avait envie d'une confortable retraite!
A bientôt, donc!
samedi 1 octobre 2011
Tu dors?
On me dit : "t'as vu le débat?". Alors je fais marcher à toute vitesse ma machine mentale et je connecte : "il doit parler du débat des primaires socialistes".
Réponse : "Euh non pas regardé, pas le temps, les gosses, tout ça"; vite couper court, sinon il va me demander pour qui je vais voter.
Bien sûr que je ne l'ai pas regardé ce débat ni le premier, ni le suivant s'il y en a! Ce n'est pas mon problème, le débat! Ces hommes et femmes politiques là ne sont pas en situation de me représenter. Ils ne connaissent pas le monde dans lequel nous vivons. Moi, à la présidentielle, je voterai Bové (ah merde, il se présente pas; le con!).
"Mais quand même t'as bien un avis?" (ça y est j'en étais sûr...)
Mon avis c'est qu'un parti socialiste ça peut pas être ce que le PS nous montre. Mon avis c'est que l'élection présidentielle ne règle rien. Mon avis c'est que des fois on fait mieux d'écouter son Murat sous la couette, s'enfermer dans son 4è étage et puis faire du vélo quand il fait beau.
"Mais alors et la manif' du 27, t'y étais quand même?"
"Bien sûr que j'y étais avec la même persuasion que ça sert à rien, que tout le monde s'en contrefout de l'école, que la droite a gagné, - 2012 ou pas on s'en fout,- ils ont gagné le combat, faute de PS à gauche, faute d'envie d'autre chose, faute de citoyens concernés, faute de presse qui ferait son boulot, faute d'artistes engagés, faute d'indignation partagée... Indignés, cher M. Hessel, cela fait longtemps qu'on l'est. Mais croyez moi ça suffit pas... Faut aussi un idéal à partager. Et là... Allez slash contrôle Z -bzzzzzzzzzzzzzz
Réponse : "Euh non pas regardé, pas le temps, les gosses, tout ça"; vite couper court, sinon il va me demander pour qui je vais voter.
Bien sûr que je ne l'ai pas regardé ce débat ni le premier, ni le suivant s'il y en a! Ce n'est pas mon problème, le débat! Ces hommes et femmes politiques là ne sont pas en situation de me représenter. Ils ne connaissent pas le monde dans lequel nous vivons. Moi, à la présidentielle, je voterai Bové (ah merde, il se présente pas; le con!).
"Mais quand même t'as bien un avis?" (ça y est j'en étais sûr...)
Mon avis c'est qu'un parti socialiste ça peut pas être ce que le PS nous montre. Mon avis c'est que l'élection présidentielle ne règle rien. Mon avis c'est que des fois on fait mieux d'écouter son Murat sous la couette, s'enfermer dans son 4è étage et puis faire du vélo quand il fait beau.
"Mais alors et la manif' du 27, t'y étais quand même?"
"Bien sûr que j'y étais avec la même persuasion que ça sert à rien, que tout le monde s'en contrefout de l'école, que la droite a gagné, - 2012 ou pas on s'en fout,- ils ont gagné le combat, faute de PS à gauche, faute d'envie d'autre chose, faute de citoyens concernés, faute de presse qui ferait son boulot, faute d'artistes engagés, faute d'indignation partagée... Indignés, cher M. Hessel, cela fait longtemps qu'on l'est. Mais croyez moi ça suffit pas... Faut aussi un idéal à partager. Et là... Allez slash contrôle Z -bzzzzzzzzzzzzzz
12 ans pour rien.
Douze ans que cela dure... Quelques milliers de caractères pour rien, coups de gueule multiples pour quoi? Juste le plaisir de dire ou d'avoir dit? Juste une nécessité d'écrire que le citoyen n'est pas dupe du jeu qu'on lui impose; à cette musique en imposer une autre, la notre. Le verbe contre le vide imagé, Murat plutôt que DSK; Alors cela va encore durer puisqu'il est impossible de faire autrement. Ecrire pour exister; Mais contre le sentiment du moulin à vent que faire? Rappeler les vieux textes existants et vérifier qu'on existe depuis longtemps.
Quelques liens, archives de la pensée, pour montrer comme rien n'a changé!
sur la crise politique :
http://www.lamouetterouge.fr/Html/crise.htm
http://www.lamouetterouge.fr/Html/crise2.htm
http://www.lamouetterouge.fr/Html/crise3.htm
http://www.lamouetterouge.fr/Html/decadence.htm
http://www.lamouetterouge.fr/Html/reflexion.htm
http://www.lamouetterouge.fr/Html/reflexion2.htm
Quelques liens, archives de la pensée, pour montrer comme rien n'a changé!
sur la crise politique :
http://www.lamouetterouge.fr/Html/crise.htm
http://www.lamouetterouge.fr/Html/crise2.htm
http://www.lamouetterouge.fr/Html/crise3.htm
http://www.lamouetterouge.fr/Html/decadence.htm
http://www.lamouetterouge.fr/Html/reflexion.htm
http://www.lamouetterouge.fr/Html/reflexion2.htm
vendredi 30 septembre 2011
homme seul perdu de vue
Je ne suis pas dylanologue, muratien, expert es homme chantant. J'ai passé l'âge d'être fan ce que je n'ai d'ailleurs jamais aimé-assumé d'être. T'as déjà fait la queue pour un autographe bâclé de merde? Autant dire que je ne veux pas être pris pour ce que je ne suis pas à l'heure de parler du dernier opus de JLM Bergheaud - pardon, Jean Louis Murat. D'autres seront plus légitimes pour en discourir et analyser la chose : Bayon a chroniqué le disque hier ou avant hier dans Libé, qui est le seul quotidien à faire place à ce disque en deux pages. Si après ces précautions de délégitimation vous lisez ceci c'est que vous l'aurez voulu.
Je ne suis pas muratien ni fan en mode transi, juste auditeur passionné d'un auteur prolixe que j'estime admirable (digne d'être admiré).
Admirable indépendance, faisant fi des modes courants et temps de l'industrie musicale, sort son disque annuel juste parce qu'il écrit des chansons et les enregistre!
Admirable régularité de qualité d'écriture. Oh, certes, il n'évite pas la répétition, parfois, mais la cohérence est à ce prix, de redire la même chose toujours et encore (toujours le même t'aime disait Gainsbourg.)
Admirable musicalité du timbre et de l'intonation, de phrasé...
Bon voilà j'aime bien mais encore?
L'homme seul perdu, qui se retient mais qui aime à se vomir parfois, qui répand sa médiocrité et son exigence tout à la fois, sa peur et son arrogance en même temps, la nature et la culture, le primitif et le policé des moeurs...
Le versificateur capable d'écrire, Verlaine, Baudelaire, Rimbaud et Blondin, les chants passés, les champs et les prés, et Bahamontès.
La chanson semble sans fin parfois, revient d'un album à l'autre par une intonation et un phrasé, qui n'est rien moins que la mise en dehors d'un rythme intérieur : écouter la manière de chanter :"En détail d'une journée / Voilà les derniers moments", rythme que l'on entend dans de multiples albums gage de sincérité plus que d'une marque de fabrique.
S'arrêter au bord d'un chemin, en haut d'une colline, regarder au loin et au près; sentir la rosée sous nos fesses mouiller nos jeans délavés. Et pleurer de joie devant tant de beauté et ce qu'on est capable d'en faire. Boire un verre de rouge, un pinot qui prend le goût de la terre d'où il est né, au soir, une table en bois sous nos coudes élimés. Se taire et rire enfin ou pleurer selon ce que le feu de la veillée et le goût du vin nous aurons dicté.
J'aime que quelqu'un puisse dire :
"Je voudrais me perdre de vue ... dans une absence congénitale ... dans un simple chant de berger";
Je ne suis pas muratien ni fan en mode transi, juste auditeur passionné d'un auteur prolixe que j'estime admirable (digne d'être admiré).
Admirable indépendance, faisant fi des modes courants et temps de l'industrie musicale, sort son disque annuel juste parce qu'il écrit des chansons et les enregistre!
Admirable régularité de qualité d'écriture. Oh, certes, il n'évite pas la répétition, parfois, mais la cohérence est à ce prix, de redire la même chose toujours et encore (toujours le même t'aime disait Gainsbourg.)
Admirable musicalité du timbre et de l'intonation, de phrasé...
Bon voilà j'aime bien mais encore?
L'homme seul perdu, qui se retient mais qui aime à se vomir parfois, qui répand sa médiocrité et son exigence tout à la fois, sa peur et son arrogance en même temps, la nature et la culture, le primitif et le policé des moeurs...
Le versificateur capable d'écrire, Verlaine, Baudelaire, Rimbaud et Blondin, les chants passés, les champs et les prés, et Bahamontès.
La chanson semble sans fin parfois, revient d'un album à l'autre par une intonation et un phrasé, qui n'est rien moins que la mise en dehors d'un rythme intérieur : écouter la manière de chanter :"En détail d'une journée / Voilà les derniers moments", rythme que l'on entend dans de multiples albums gage de sincérité plus que d'une marque de fabrique.
S'arrêter au bord d'un chemin, en haut d'une colline, regarder au loin et au près; sentir la rosée sous nos fesses mouiller nos jeans délavés. Et pleurer de joie devant tant de beauté et ce qu'on est capable d'en faire. Boire un verre de rouge, un pinot qui prend le goût de la terre d'où il est né, au soir, une table en bois sous nos coudes élimés. Se taire et rire enfin ou pleurer selon ce que le feu de la veillée et le goût du vin nous aurons dicté.
J'aime que quelqu'un puisse dire :
"Je voudrais me perdre de vue ... dans une absence congénitale ... dans un simple chant de berger";
samedi 15 janvier 2011
Tunisie, nouveau visage ?
Je ne suis pas spécialiste de la Tunisie. Ces remarques se fondent sur quelques éléments de compréhension immédiate et n'ont d'autres valeurs qu'un avis personnel. Certains appellent au calme pour que la Tunisie retrouve rapidement sa place de petit paradis touristique pour Européens en mal de chaleur. Si l'économie touristique est effectivement vitale aujourd'hui pour le pays, il ne faut pas perdre de vue que c'est ce déséquilibre dans les choix de développement qui est à l'origine de la contestation.
Certes, les revendications politiques logiques et légitimes ont motivé les évènements de ces derniers jours mais ils sont nés d'une impasse du modèle de développement dont bien des agences de notations devraient vite tenir compte. Mais ces agence, et tous les agents économiques internationaux, n'en tiendront évidemment pas compte : leur but ? rétablir au plus vite les liaisons aériennes entre le vieux continent et les hôtels étoilés du littoral.
Quid des choix sur l'eau qui se sont fait au détriment de l'agriculture et de l'industrie de base?
Quid du sort d'un diplômé Tunisien sans avenir dans ce modèle?
Sans une alternative économique et sociale la Tunisie ne trouvera pas cet équilibre nécessaire au développement durable du pays.
Autrement dit le règlement du cas Ben Ali ne règlera pas seul le cas tunisien.
Certes, les revendications politiques logiques et légitimes ont motivé les évènements de ces derniers jours mais ils sont nés d'une impasse du modèle de développement dont bien des agences de notations devraient vite tenir compte. Mais ces agence, et tous les agents économiques internationaux, n'en tiendront évidemment pas compte : leur but ? rétablir au plus vite les liaisons aériennes entre le vieux continent et les hôtels étoilés du littoral.
Quid des choix sur l'eau qui se sont fait au détriment de l'agriculture et de l'industrie de base?
Quid du sort d'un diplômé Tunisien sans avenir dans ce modèle?
Sans une alternative économique et sociale la Tunisie ne trouvera pas cet équilibre nécessaire au développement durable du pays.
Autrement dit le règlement du cas Ben Ali ne règlera pas seul le cas tunisien.
vendredi 14 janvier 2011
Tunis, 14 janvier 2011, 18h 30
Ben Ali quitte le pays et l'armée prend le pouvoir. On a envie de se réjouir mais... Plus de 60 morts dans ces émeutes et une incertitude. Car enfin l'armée était le fidèle suppôt du pouvoir corrompu jusqu'alors. Donc? Démocratie or not démocratie?
à suivre
19h30 : le pouvoir est assuré par le premier ministre depuis 12ans.... L'armée ne le prendrait pas : bonne nouvelle! Mais scepticisme et appel à de nouvelles manifs.
Pendant ce temps les agences de notation économique abaissent la note du pays. "Business is business"...
Sarko aurait refusé l'accueil à Ben Ali. J'ai du rêver ou le prézizi a du boire. 1er acte censé du quinquennat.
Pensée pour nos potes Tunisien ou franco tunisien : Khaled, Semia et ses soeurs de Toulouse (C'est biééééé Toulouuuuuuuuuseeeuh).
La rue peut toujours dire NON!
à suivre
19h30 : le pouvoir est assuré par le premier ministre depuis 12ans.... L'armée ne le prendrait pas : bonne nouvelle! Mais scepticisme et appel à de nouvelles manifs.
Pendant ce temps les agences de notation économique abaissent la note du pays. "Business is business"...
Sarko aurait refusé l'accueil à Ben Ali. J'ai du rêver ou le prézizi a du boire. 1er acte censé du quinquennat.
Pensée pour nos potes Tunisien ou franco tunisien : Khaled, Semia et ses soeurs de Toulouse (C'est biééééé Toulouuuuuuuuuseeeuh).
La rue peut toujours dire NON!
jeudi 6 janvier 2011
contre la montre
Il reste 15 jours à PPDA pour écrire un livre original sur Hemingway. Chic, du sport!
S'il a besoin d'un nègre je suis qualifié : je ne connais rien sur Ernest qui n'ait déjà été écrit.
S'il a besoin d'un nègre je suis qualifié : je ne connais rien sur Ernest qui n'ait déjà été écrit.
mercredi 5 janvier 2011
Politiqueries
Ce midi , (vers 12h20 pour être précis) M. De Villepin (ex ministre) est rentré à la Closerie des Lilas. Je ne l'ai pas vu sortir... Le syndrome Renaud?
M. Morin s'est déclaré candidat à la présidentielles de dans 15 mois. Il a tout le temps de renoncer... A peine le temps de l'écrire que c'est déjà fait. Même pas drôle...
M. Valls n'a toujours pas pris ses RTT : expliquez lui le principe et qu'il est temps...
M. Morin s'est déclaré candidat à la présidentielles de dans 15 mois. Il a tout le temps de renoncer... A peine le temps de l'écrire que c'est déjà fait. Même pas drôle...
M. Valls n'a toujours pas pris ses RTT : expliquez lui le principe et qu'il est temps...
samedi 1 janvier 2011
L'objecteur, café.
Nom : L'objecteur.
Lieu : indéfini, il reste à créer.
Raison d'être : Donner à lire, à jouer, à voir et le tout en buvant tranquillou son content.
La mouette rouge café, café d'échanges, de discussions, pour refaire le monde à table ou au comptoir. Lieu de résistance et d'objections (de conscience).
Au fond se tient, droit, un piano. Aux murs, les livres sont en libre accès. Les vieux journaux 1900 tapissent les pans de murs libres. Au manettes et à la musique, le patron veut faire vivre une ambiance loin du monde extérieur qui nous saoule.
Condition de ma raison... de vivre.
Lieu : indéfini, il reste à créer.
Raison d'être : Donner à lire, à jouer, à voir et le tout en buvant tranquillou son content.
La mouette rouge café, café d'échanges, de discussions, pour refaire le monde à table ou au comptoir. Lieu de résistance et d'objections (de conscience).
Au fond se tient, droit, un piano. Aux murs, les livres sont en libre accès. Les vieux journaux 1900 tapissent les pans de murs libres. Au manettes et à la musique, le patron veut faire vivre une ambiance loin du monde extérieur qui nous saoule.
Condition de ma raison... de vivre.
Inscription à :
Articles (Atom)