Surtout, il crée en Europe un modèle qui renvoie aux calendes grecques toute idée d'Europe sociale (déjà que) et pour des décennies. La contestation de la rue succède à celle des Français, qui succède à celle des Grecs et des Espagnols. On attend les Italiens mais ils s'occupent à pleurer des bouffonneries de leur guignolo premier de Comedia dell'arte.
L'Europe comme idée est presque morte. Comme réalité, elle n'est que normes absconses, politiques de rigueur et dépossession des politiques dans tous les domaines. Pourtant elle pourrait être mutualisation de moyens et principes d'exigence.
L'exemple britannique laisse craindre une plus forte agression encore contre les services publics dans notre pays. Il faudra se battre.
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